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Brief aan den


pénétré monseigneur, qu’une confiance que j’avais principalement fondée sur l’amour de mon devoir, se trouve entièrement déçue. Ma santé ne me permettant plus de continuer mes services à la guerre, je viens d’écrire à M. le duc de Biron, pour le prier de nommer à mon emploi. Je n’ai pu, dans une situation si malheureuse, me refuser à vous faire connaître mon désespoir. Pardonnez-moi, monseigneur, s’il me dicte quelque expression qui ne soit pas assez mesurée.

„Je suis, etc.”



Ziehier het tweede stuk dat-i me opdroeg in z’n pak te zoeken.

Charles Lavollée over China.

Pour administrer tant de provinces, plus grandes que des royaumes, il faut que l’empereur et ses ministres soient assurés d’une obéissance passive, et qu’ils comptent sur l’exécution immédiate de l’ordre une fois donné. Les observations, les conseils même, sont mal accueillis, et taxés de revolte. Mais alors qu’arrive-t-il? C’est que les fonctionnaires, moins peut-être par adulation que par crainte, envoient dans les momens critiques des rapports incomplets ou inexacts, dissimulent les petites difficultés, amoindrissent ou dénaturent les difficultés sérieuses, se décernent des triomphes diplomatiques et militaires, imaginés pour l’entière satisfaction de leur cour, enfin saturent leurs depêches de toutes les exagérations, de tous les mensonges que peut contenir un récit officiel. Trompé par leurs rapports, et conservant ses illusions, le cabinet impérial s’obstine dans le vieux systême; il repousse toute idée de concession, et les affaires s’agitent dans une sorte de cercle vicieux, où s’accumulent les malentendus et les embarras. [1]



    van de Putte, de ryk geworden kontraktant en vry-arbeider — men zegt, dat-i drie millioen wist te halen uit Javanen-arbeid, in slechts elf jaren tyds, en al zy ’t iets minder, toch is ’t zeker dat het zeer veel is — die v.d. Putte is Minister van Kolonien!

  1. (Noot van 1865.) ’t Is om jaloers te worden op China! Daar immers zou voor den naïven menschenvriend hoop kunnen bestaan op verbetering, indien hy slagen mocht in ’t doordringen tot den Keizer, die slechts bedrogen is door „leugenachtige rapporten” en misschien zich zou verplicht voelen iets te doen tot herstel, indien men hem het leugenachtige van die rapporten had aangetoond. Ik denk dat de drukpers in China niet vry is. Dit is ’n bemoedigend denkbeeld voor ’n chineschen menschenvriend. Hy kan zich troosten met de gedachte: Als de Keizer ’t wist, wie weet òf er geen recht geschiedde!
    Maar wat men te denken hebbe van ’n land, waar de gansche Natie